VEGETARISME

« La grandeur d'une nation et ses progrès en matière morale peuvent être jugés par la façon dont ses animaux sont traités »
Gandhi

Voici des questions que l'on me pose souvent :

  • Est ce que le végétarisme va toujours de paire avec l’ayurvéda et le yoga ?
  • Faut il être végétarien pour mener une vie en harmonie avec l’ayurvéda ?
  • Faut il être végétarien pour pratiquer le yoga sur le tapis et en dehors du tapis ? 

ma réponse est non.....

il n’y a pas de références concrètes dans les textes  anciens (ou plus récents d’ailleurs !) qui expliquent qu’il y a obligation  à ne pas manger de viande. Par contre ce que l’on peut trouver dans les textes de références, c’est le concept de ahimsa,notamment dans les sutras de Patanjali. AHIMSA signifie la non violence, qui peut être comprise de manière très large,ou très restreinte selon le point de vue de chacun.

Pour moi , la non violence s’inscrit déjà par rapport à  nous même,c’est à dire de cultiver une bienveillance envers nous même, mais évidemment pas que... il est important que cette bienveillance s’étende autour de nous, aux gens qui nous entourent et au delà.... Au delà de cette Non violence , on peut retrouver dans les textes et surtout dans la pratique du  bhakti Yoga (qui est une branche du Yoga, notamment au travers du chant de mantras)  le concept d’AMOUR (préma).Je pense qu’avec ces 2 concepts de Non violence  «AHIMSA» et d’Amour «PREMA» on peut avoir son propre avis sur le fait de manger ou non de la viande, si l’on considère que tuer un animal c’est violent ou non....... 

Loin de moi l’idée de vous dicter ce qu’il faut faire ou ne pas faire c’est vraiment à chacun de trouver sa propre véritée «SATYA» .

je ne suis pas un guru,et quand bien même je sois spécialisée  en alimention ayurvédique, je considère que le plus important est d’être en harmonie avec ce que l’on mange,et c’est de faire le choix le plus aligné avec soi même .

Il y a certaines personnes qui ressentent le besoin de manger de la viande parce qu’elles ont des activités physiques très intenses, elles ressentent un besoin d’ancrage, de quelque chose de lourd, de carnassier.... parce que ça colle avec leur mode de vie. J’ai d’ailleurs apris que le Dalaï-Lama mangeait de la viande pour des raisons de santé, donc même chez de grandes figures de Non violence, certains mangent de la viande...Je pense donc qu’il faut être profondement en harmonie avec ce qui se trouve dans notre assiette, parce que si nous ne le sommes  pas, si nous nous forçons et que nous allons contre nos besoins  naturels, nous risquons de nous frustrer et  éventuellement de tomber malade...

En ce qui me concerne, cela fait maintenant depuis l’âge de 19 ans que j’ai totalement arrêté de manger des « animaux » car déjà enfant je n’étais pas en harmonie avec le fait de les  retrouver morts et broyés dans mon assiette.(Pardonnez moi ces mots crus mais j’éprouvais  déjà à cette époque une grande violence)

J’ai toujours bien vécu mon végétarisme et je suis encore actuellement en  harmonie avec ce que je retrouve dans mon  assiette.

Concernant ce principe de AHIMSA ,de non violence , je pense que l’on peut tout à fait le relier à ce qui est en train de se passer sur notre planète, au désastre écologique.Vous savez sans doute que l’élevage industriel d’animaux est non seulement extrêmement cruel mais qu’en plus , c’est lui qui génère le plus d’émissions de gaz à effet de serre, puisqu’il faut énormément de nourriture pour nourir ces animaux et notamment beaucoup de soja qui vient d’amérique latine, soja qui est abondamment nourrit aux OGM et aux pesticides  Monsanto , avec une déforestation qui est absolument inimaginable, et c’est sans parler du traitement qui est fait aux animaux dans ces élevages industriels. Je ne comprends vraiment pas que notre espèce se disant civilisée puisse traiter des animaux de cette manière !!! Ça me dépasse complètement, non seulement le traitement , mais aussi le transport .....

Pour revenir à ce principe de AHIMSA , si l’ on est un tant  soit peu  humain, si on a envie de protéger notre planète, si on ne cautionne pas non plus cette façon de traiter les animaux, quand on pense que nous ne sommes que des singes évolués, ça n’a aucun sens  de traiter les animaux de la sorte, c’est complètement contre productif car nous sommes  en train de nous  tuer nous même, de tuer notre environnement. Ce que je voudrais insufler c’est juste d’être en harmonie avec ce que l’on mange, même si je comprends que certaines personnes aient besoin d’un régime carnassier, cela ne veut pas dire qu’on ait besoin de manger de la viande tous les jours et encore moins 3 fois par jour !!!  on est culturellement complètement domestiqu é à toujours avoir un bout de viande ou un bout de poisson dans l’ assiette, on ne sait pas faire autrement alors qu’il y a évidemment des tonnes de manières différentes et plus créatives de manger...  si le fait de ne plus  consommer de  viande ou de poisson  est  une frustration pour vous ou que cela ne vous convient pas alors mon conseil serait d’en manger beaucoup moins (1 fois par semaine ça suffit !!!) et de très bonne qualité, et ça j’insiste là dessus essayez alors d’aller chez le petit éleveur qui connait ses « bêtes » et qui les aime, parce qu’il y en a encore des éleveurs qui travaillent de manière traditionnelle , avec amour, qui  traitent ses animaux avec respect ....

je sais aussi qu’il y a des populations qui vivent uniquement en consommant de la viande, je ne remets pas du tout en question leur mode de vie car  c’est toujours des populations qui vivent en symbiose avec la nature et les animaux,donc c’est complètement différent  et ça n’a rien à voir avec ce que nous, nous vivons aujourd’hui.

Voilà  c’est ma goutte d’eau dans l’océan, pour vous convaicre de faire attention  à ce que vous mettez  dans votre assiette, et de cultiver la gratitude avec ce que vous avez dans votre assiette, de manger en conscience et en harmonie avec soi.

Merci au nom de toutes ces petites vaches, de ces petits veaux,cochons, poules, chèvres, poissons..... tous ces êtres qui méritent de vivre dignement leur vie d’animaux , j’espère que cette petite goutte laissée à l’océan ne tombera pas dans l’oreille d’un sourd, ou d’une sourde, et qu’elle saura vous convaincre de préférer la qualité sur la quantité, et  tout simplement de mettre de la non violence, du AHIMSA  dans vos assiettes.

C’est pour vous , pour moi, pour nos enfants, pour qu’ils puissent vivre sur cette planète sans qu’elle soit complètement détruite....

Vous trouverez dans les articles ci dessous,  tout ce que vous devez savoir sur le Végétarisme

Namasté

Pour aider les animaux, rien de tel que le végétarisme.

Dans les élevages industriels, veaux, vaches, cochons, poules, dindes, canards et d'autres animaux encore vivent dans des cages surpeuplées, sans soins vétérinaires, sans exercice, sans jamais voir la lumière du soleil ou respirer l'air frais, privés même du simple contact de l'herbe sous leurs pieds. Ces êtres qui vivent, respirent, pensent, éprouvent sensations et sentiments et nous ressemblent sur tant de points, souffrent et meurent par millions chaque jour en France simplement pour que nous ayons le plaisir de manger un steak ou une tranche de jambon. Bien souvent, ils sont encore conscients quand ils sont égorgés, dépecés ou ébouillantés.

Par nos choix alimentaires, nous pouvons refuser de contribuer à ces horreurs quotidiennes.

Un peu d’éthique dans nos assiettes

Les pays où le gavage est encore toléré se font de plus en plus rares. La production de foie gras est interdite en Allemagne, en Italie (depuis 2004), au Danemark, en Autriche, au Royaume-Uni, en Argentine, dans l’État de Californie, en Suisse, et dans bien d’autres pays encore. D’importants producteurs comme la Pologne (depuis 1999) et Israël (2005) ont eux aussi interdit le gavage.

La législation européenne elle-même interdit le gavage depuis 1999. Mais, sous la pression de la France, un sursis a été accordé aux pays qui gavaient encore à condition qu’ils élaborent des méthodes de production sans gavage.

La France produit et consomme plus de 90 % du foie gras dans le monde. Chaque année, plus de 30 millions de canards et 800 000 oies y subissent le gavage : un nombre supérieur à celui des cochons abattus pour leur chair.

Saviez-vous que le label bio ne peut pas être attribué au foie gras en raison du mauvais traitement subi par les animaux ? Dans de nombreux pays, des compagnies aériennes (Swissair, Air Canada, Air New Zealand …), des magasins (les chaînes de supermarchés Sainsbury’s et Tesco en Grande-Bretagne, par exemple), des restaurants se refusent à servir du foie gras pour des raisons éthiques.

Consommer du foie gras, c’est être responsable des sévices qu’endurent les oies et les canards.
Mettons un peu plus d’éthique dans notre assiette !

L'élevage industriel, c’est l’enfer !

Fouiller le sol, picorer, prendre des bains de poussière au soleil, couver ses œufs et élever ses poussins : les livres pour enfants continuent à évoquer ainsi le quotidien de poules heureuses et insouciantes. Dans le monde réel, il y a moins matière à de jolies histoires. Chaque année en France, plus de 800 millions de poules sont élevées dans d’effroyables conditions. Pendant leur courte vie, à aucun moment elles ne connaissent la chaleur du soleil ou la douceur de l’air. Leur triste existence se passe à l’intérieur de hangars malsains, sans fenêtres et surpeuplés, où chacune ne dispose même pas de l’espace d’une page A4.

Débecquage à vif

Pour éviter les comportements d’agression déclenchés par la promiscuité, les éleveurs tranchent le bec des poussins quelques heures à peine après l’éclosion à l'aide d'une lame chauffée à blanc. Le débecquage à vif est une opération si douloureuse que les poussins succombent parfois de crise cardiaque, ou se laissent par la suite mourir de faim tellement picorer est devenu douloureux.

Stress intense

Hangars surpeuplés et cages exiguës rendent impossible la moindre relation sociale. Incapables de donner libre cours à leurs comportements les plus élémentaires, de gratter le sol ou de faire un nid, beaucoup de poules deviennent stressées, agressives ou démentes au point que les auto-mutilations ne sont pas rares.

Le triste destin des petits poussins

Parmi les animaux élevés pour leur chair, les poulets sont de loin les plus nombreux. Chaque année en France, plus de 830 millions finissent dans nos assiettes.

Au moment de l'abattage, les poulets n’ont que 41 jours. Dans la nature, ils resteraient avec leur mère pendant encore un bon mois et pourraient vivre jusqu’à l’âge de six ou sept ans. Les poulets proposés sur le marché ne sont donc que de pauvres poussins difformes.

Les manipulations génétiques, les médicaments et autres substances ajoutées à la nourriture permettent d'obtenir une croissance foudroyante, mais certains organes ne se développent pas aussi vite que le reste du corps. Incapables de supporter le poids d’un corps aussi disproportionné, les os des pattes se déforment ou se brisent. Les oiseaux développent de douloureuses malformations qui les empêchent de se déplacer normalement (un rapport de l’INRA révèle que de 75 à 90 % des animaux en élevage intensif ont une démarche altérée) et les obligent à se traîner vers les points d’eau et de nourriture. Ceux qui ne peuvent les atteindre meurent de faim et de déshydratation.

Souvent, le cœur aussi peine à suivre cette croissance accélérée, et des millions de poulets souffrent de défaillances cardiaques (88 millions en meurent chaque année en Europe).

Les transports sont une autre occasion de stress et de souffrances. Il n'est pas rare que les manutentionnaires qui rassemblent les poulets leur brisent les os en les sortant des cages et en les entassant dans des caisses. Saisis par les pattes et manipulés sans ménagement, nombre d'entre eux sont victimes d'hémorragies douloureuses avant même d'arriver à l'abattoir.

A la sortie des cages, les oiseaux sont suspendus par les pattes à une chaîne mécanique. Leur tête est ensuite plongée dans un bain électrifié pour les étourdir (c’est « l’électronarcose »). Des couteaux automatiques leur tranchent alors la gorge. Malheureusement, bien souvent, les oiseaux tentent de se redresser et échappent à l’étourdissement. Ils sont alors décapités en pleine conscience.

Acheter un œuf, c’est condamner une poule

Le nombre de poules pondeuses en France est estimé à 55 millions d’individus, dont une immense majorité en élevage industriel.
Dans les élevages en batterie, ou « hors-sol », les poules sont détenues dans des rangées de cages superposées. Elles ne peuvent ni déployer leurs ailes, ni se tenir debout normalement. Même si l’Union Européenne a décidé d’interdire ces cages à partir de 2012, pour les remplacer par des « cages améliorées », le progrès ne sera guère notable.

Tout est fait pour augmenter la production sans tenir compte le moins du monde des besoins physiologiques et psychologiques de la poule : l’éclairage prolongé diminue les heures de repos, la poule n’a aucune possibilité de s’isoler pour pondre et tente vainement de retenir chaque œuf et de le couver, le sol grillagé et pentu blesse ses pattes. Les lésions et fissures qui en résultent sont source de douleur, ainsi que les déformations osseuses et maladies virales. Il arrive même que les pattes restent entortillées au grillage et se retrouvent arrachées.

Broyés vivants

Les poules pondeuses sont issues de souches sélectionnées pour leur fertilité. Contrairement aux idées reçues, les mâles ne sont pas destinés à devenir des poulets de chair, car ces poulets sont issus d’autres souches, choisies pour leur croissance rapide. Ainsi, les poussins mâles sont éliminés à la naissance : selon le cas, ils sont broyés vivants dans des broyeuses mécaniques, ou bien gazés

Le bonheur n’est pas dans le pré

« Bio », « plein air », « libre parcours » : soulager la conscience du consommateur 

Nous sommes de mieux en mieux informés de la réalité des conditions d’élevage des animaux. Cependant, les différents labels visant à ménager nos consciences peuvent facilement induire en erreur : la plupart des oiseaux élevés en « plein air » ou en « libre parcours » subissent néanmoins l’ablation du bec ; leur vie est tout aussi prématurément interrompue ; la satisfaction de beaucoup de besoins naturels leur est aussi refusée. Les poulets « certifiés », par exemple, sont entassés dans des hangars, à 18 par m2, et, même en plein air, un terrain dénudé, boueux et surpeuplé ne correspond pas à l’environnement varié et ombragé dont ces oiseaux ont besoin.

Enfin, le cahier des charges de ces labels ne garantit pas de meilleures conditions de transport ou d’abattage que celles trouvées en élevage industriel. Les longs trajets sans nourriture et sans eau jusqu’aux abattoirs ne leur sont pas épargnés. Quel que soit le mode d’élevage, tous ces animaux subissent douleur, détresse et emprisonnement. En outre, l’issue demeure la même pour tous : être tués, découpés en morceaux et mangés.

Si les labels « bio » ou « label rouge » garantissent quant à eux une réelle différence de qualité de vie (pas de problèmes de croissance accélérée, meilleures conditions de détention), l’unique solution réellement respectueuse des animaux (et de votre santé !) demeure le végétarisme.

Le lait, c'est cruel

Les vaches laitières

En liberté, les vaches nouent des amitiés, jouent, ressentent les émotions les plus variées et font preuve d’orgueil ou de rancune, traits de caractère que l’on a tendance à n’attribuer qu’aux humains.
Comme les femmes, les vaches font du lait pour nourrir leur petit, avec qui elles ont un lien très fort.
Mais dans l'industrie laitière, la plupart des vaches sont entassées dans des hangars et traitées comme de simples machines à lait.

Un à trois jours après la naissance de leur bébé, celui-ci leur est arraché, ce qui les plonge dans un profond désarroi. Trois mois plus tard, alors qu’elles sont encore en lactation, elles sont de nouveau inséminées. Chaque année, elles doivent revivre ce traumatisme. 

Alimentées à base de concentrés protéinés pour augmenter la production, 25 % d’entre elles boitent à cause de l’excès d’acide urique dans leur organisme.

Un tiers souffre de mastites (inflammations des mamelles) dues à la surproduction de lait : une vache « naturelle » produit 500 litres de lait par an; elle dépasse aujourd'hui les 10 000 litres par an.

Rapidement épuisées par un tel traitement, les vaches laitières sont tuées vers l’âge de cinq ans, alors qu’elles pourraient atteindre une vingtaine d’années. Elles sont souvent pleines quand elles sont abattues. La viande obtenue est transformée en steaks hachés.

Les veaux

L’industrie laitière est étroitement liée à la boucherie : pour produire du lait, les vaches doivent mettre au monde des veaux qui seront envoyés à l’abattoir.

Les génisses deviennent pour la plupart des « machines à lait » et les mâles sont généralement arrachés à leur mère avant même d’avoir bu une seule goutte du lait maternel, pour être vendus aux enchères aux producteurs de viande de veau ou de bœuf.

En France, beaucoup de veaux sont encore élevés dans des boxes de contention individuels.

Privés de leur mère, de contacts avec leurs congénères, de paille sur laquelle se coucher, d’herbe à manger et même du moindre exercice, les veaux sont tellement à l’étroit qu’ils ne peuvent plus se retourner dès qu’ils atteignent deux semaines.

Ces boxes sont interdits en Europe depuis 2007, mais les conditions d’élevage des veaux restent insupportables.

Anémiés par une alimentation déficiente en fer (pour conserver leur chair bien blanche) et en fibres alimentaires, ils souffrent de diarrhées et de pneumonies et sont maintenus en vie au moyen de tranquillisants et d’antibiotiques.

Au bout de cinq ou six mois sans mouvement et sans lumière, ils voient le jour pour la première fois en partant à l’abattoir.

Lorsque le veau est tué jeune, la rénine (une enzyme qui fait cailler le lait) ou la présure (la membrane qui contient la rénine) de son estomac sont prélevées pour fabriquer du fromage. Il est pourtant possible de fabriquer du fromage sans présure (mais les enzymes d’origine végétale reviennent plus cher.

Pourquoi suivre un régime pauvre en protéine?

 Les régimes riches en protéines sont devenus à la mode ces dernières années pour perdre du poids. Tendance qui est selon l’Ayurveda ,très perturbante. Il est certain qu’un régime riche en protéine peut faire perdre du poids, mais le danger est qu’il fonctionne en affamant littéralement le corps. Les protéines ne sont pas un bon carburant pour le corps, nous ne recevons pas d’énergie des protéines

Les protéines sont ce que le corps utilise pour construire les tissus et les cellules, et dans l’Ayurveda traditionnel, nous utilisons la viande pour rétablir rapidement les forces particulièrement après une maladie. Mais en fin de compte, les protéines animales ne sont pas la meilleure source. les régimes très riches en protéines affament le corps en réalité, qui est alors obligé de brûler ses graisses(c’est-à-dire ses sucres stockés)comme carburant. Cela semble génial n’Est-ce pas? Tout ce qui brûle les graisses!! Malheureusement, des protéines sont aussi utilisées comme carburant, ce qui dépose des acides toxiques dans le corps et dans le plasma durant ce processus. Les protéines ne sont pas un carburant propre. Leur sous produit est l’acide urique, qui migre dans l’ensemble du corps et entraîne des maladies comme la goutte, l’arthrite et des maladies auto-immunes, entre autres.

Comparativement à un  régime pauvre en protéïnes,Il est très difficile de restaurer un fonctionnement digestif correct chez les personnes qui avaient suivi des régimes riches en protéines pendant de longues périodes.

L’acide urique a aussi un effet sur le ph du corps et sur les reins. La viande est aussi considérée comme toxique à long terme, parce qu’il faut à la chair animale entre 48 et 72 h pour traverser le système digestif, où elle a tendance à pourrir et à favoriser la croissance des bactéries toxiques avant d’être éliminée.

Une des raisons  les  plus importantes de limiter notre consommation de protéines animales est certainement la preuve clairement établie, étude par étude, que c’est une des causes principales des maladies coronariennes et de toute une liste d’autres maladies. Si vous vous inquiétez de ne pas vous procurer assez de protéïnes, permettez moi de vous rassurer.

Il est  presque impossible de ne pas absorber suffisamment de protéines si vous suivez un régime à base d’aliments complets. Le corps humain a besoin de seulement 2,5% de calories provenant des protéines,(selon l’American journal of clinicat nutrition).L’organisation Mondial de la santé fixe le besoin d’un adulte à 4,5% et le Food and nutrition board de l’académie des sciences américaines fixe ce minimum à 6%  . -ajoutant une marge de sécurité de 30% .Vous dépassez facilement le minimum de protéines à partir de sources non animales. Même le niveau de 6% est facile à atteindre en mangeant quelques fruits ou légumes par jour.

L’impact des produits animaux sur notre esprit et notre psychologie.

L’effet certainement le plus problématique de tous les produits animaux (y compris le poisson et la volaille) est celui affectant l’esprit. L’ayurvéda enseigne que consommer de la viande a deux effets négatifs principaux sur l’esprit.Le premier est que la chair animale engourdit l’esprit,et le second est qu’elle augmente la violence dans l’esprit.

Quand vous mangez quelque chose,vous ingérez sa qualité principale.celle-ci à son tour affecte votre état mental et psychologique.C’est l’une des raisons principales pour laquelle ceux qui adhèrent à l’ayurvéda ne consomment pas de viande,par ce que tous les animaux morts possèdent la qualité TAMAS (inertie,lourdeur d’esprit,manque d’intelligence,perversion,addiction,dépendance).

La viande en général commence par augmenter la qualité RAJAS (action,mouvement,agitation,colère, violence,force,dissipation)et entraine la qualité tamas c’est-à-dire la léthargie l’auto dénigrement.

A l’opposé les fruits possèdent la qualité sattva parce que ce sont les aliments les + légers et que leur consommation ne fait pas de mal à la plante dont ils sont issus;

8 mensonges sur la nutrition

Source: Brochure éditée par l’association La Parole, Paris, 2005.

Mensonge numéro 1: ceux qui ne mangent pas de viande souffrent de carence en protéines

Faux! Les protéines essentielles à l’édification des cellules sont contenues en quantité suffisante dans les légumes et les céréales, et tout spécialement dans les haricots, les pois, les lentilles et les noix. Par une alimentation variée non carnée, il est donc possible de fournir au corps tous les acides aminés essentiels servant à la formation des protéines-les graines de soja et les avocats contenant même la palette intégrale de ces huit acides aminés. Il est grotesque de jouer sur la peur du manque de protéines, un Européen moyen consommant en moyenne plus du double de protéines dont son corps a besoin. A la longue, cet excédent entraîne d’ailleurs le dépôt des protéines animales dans les vaisseaux sanguins et dans les tissus, ce qui bloque l’acheminement des substances vitales dans les organes, les muscles et les os.

La surconsommation de protéines animales induit de nombreuse maladies.

“Je suis végétarien et antialcoolique car je peux faire un bien meilleur usage de mon cerveau”, Thomas Edison, inventeur de l’ampoule électrique et du cinéma.

Mensonge numéro 2: ceux qui ne mangent pas de viande souffrent de carence en fer

Faux! L’oligo-élément fer ne se trouve pas uniquement dans la viande mais également dans de nombreux aliments végétaux. Le chou blanc, les céréales complètes, les graines de tournesol, les betteraves rouges, le millet, les lentilles, les pois, les graines de soja, le germe de blé, le pourpier, le sésame et le topinambour sont particulièrement riches en fer. En outre, la vitamine C- à consommer par exemple sous forme d’un verre de jus de fruit ou de citron, ou encore de persil saupoudré sur la salade- augmente l’assimilation de fer contenu dans les aliments. Le thé noir et le café par contre, diminuent l’assimilation du fer par l’organisme de 40 à 50 %.

Mensonge numéro 3: ceux qui ne mangent pas de viande souffrent de carence en vitamine B12

Faux! Cet argument est sans cesse remis sur le tapis par le front des mangeurs de viande. Le fait est que les végétariens sont en moyenne bien mieux pourvus en éléments essentiels et en vitamines-tels que vitamine B1, acide folique, vitamine E, magnésium, potassium ou manganèse- que le reste de la population. L’apport en vitamine B12, qualifiée souvent de “vitamine critique des végétariens”, ne pose absolument aucun problème en cas de régime lacto-végétal (régime sans viande mais avec produits laitiers).

Quant aux végétaliens purs, en l’état actuel des connaissances, il leur est conseillé de complémenter leur alimentation par un apport en vitamine B12 sous forme de gélules faciles à se procurer en pharmacie. Pour plus de sécurité, en référer à son médecin traitant.

“Je suis végétarien depuis 12 ans. Durant tout ce temps, je n’ai jamais été sérieusement malade. La nourriture végétarienne renforce le système immunitaire. Je crois que la viande rend malade”, Bryan Adams, chanteur compositeur.  

Mensonge numéro 4: les végétariens souffrent d’un manque de calcium

Faux! Le calcium est un élément essentiel dans la formation des os. On trouve du calcium dans le sésame, les noix, le choux frisé, le persil, les épinards, les graines de soja, le chou de Milan, le panais, le poireau et dans bien d’autres légumes et céréales.

Concernant le calcium contenu dans le pain, il est important de savoir ceci: le grain de céréale contient en effet du calcium, mais aussi de l’acide phytique qui est une forme emmagasinée du phosphore. Or, la combinaison calcium/acide phytique empêche l’assimilation du calcium par le corps. Seule la fabrication traditionnelle du levain échelonnée sur 24 heures, comme elle fut pratiquée pendant des siècles, est susceptible de dissocier cette combinaison. La fabrication du levain telle que pratiquée dans les boulangeries modernes à l’aide d’adjuvants qui accélèrent le processus et qui réduisent le temps de fermentation, ne permet cette dissociation. Ce qui revient à dire que l’on a beau absorber autant de calcium que l’on veut, cela n’est d’aucune utilité pour le corps. Par contre, le pain au levain fabriqué à l’ancienne, en 24 heures, permet une assimilation optimale du calcium par l’organisme.

Mensonge numéro 5: ne pas manger de viande signifie ne manger que des graines

Faux! Manger “végétarien” ce n’est pas manger uniquement des graines et de la verdure comme en témoigne le nombre croissant de restaurants gastronomiques qui offrent désormais des plats végétariens. De plus, pour s’en convaincre, on peut également consulter les innombrables livres de cuisine offrant une large palette de succulentes recettes végétariennes. En réalité, c’est l’assaisonnement qui donne l’essentiel du goût à un plat ! Qui a déjà goûté de la viande crue non assaisonnée sait pertinemment que cela n’a aucun goût. Le fumet que la plupart des hommes apprécient dans la viande résulte pour l’essentiel d’un bon assaisonnement.

Les préparations nécessaires pour paner un morceau de viande, l’assaisonner et le faire griller peuvent aussi bien s’appliquer à une tranche d’aubergine ou de céleri. Cela leur procure un goût de rôti tout aussi épicé, un fumet qui est un véritable délice et pour lequel aucun animal ne doit perdre la vie.

“Qu’y a-t-il de plus repoussant que de se nourrir continuellement de chair de cadavre?” Voltaire (1694-1778)

Mensonge numéro 6: les femmes enceintes doivent manger de la viande pour ne pas nuire au fœtus qu’elles portent en elles

Faux! Durant la grossesse, une nourriture lacto-végétarienne comprenant, outre les aliments végétaux, des produits laitiers, couvre tous les besoins nutritionnels nécessaires. On peut même dire que les femmes enceintes qui suivent un régime végétarien sont mieux pourvus en substances nutritives essentielles que les non-végétariennes. En cas d’alimentation végétalienne (sans lait et sans œufs) pendant une grossesse, on doit tout spécialement veiller à recevoir un apport suffisant en protéines, calcium, fer, zinc, vitamine B2 et B12 par une alimentation variée. Le cas échéant consulter son médecin traitant qui prescrira des compléments vitaminés ou minéraux.

 Mensonge numéro 7: les bébés et les enfants ont besoin d’une alimentation carnee pour leur developpement

Faux! Les analyses ont montré que le lait maternel des végétariennes est meilleur pour le nourrisson car moins contaminé par la pollution et plus riche en vitamines et en acide gras insaturés. Par contre, aucune étude scientifique n’a démontré qu’une alimentation sans viande et de haute valeur nutritive occasionnait chez le nourrisson des troubles carentiels tel qu’un manque de fer par exemple. Chez les nourrissons âgés de 6 à 11 mois, on recommande environ 8mg de fer par jour. Un régime conseillé par un pédiatre, avec 25g de viande de bœuf maigre par semaine, n’apporte que 0,65 mg de fer alors qu’une portion de flocons d’avoine de 100g contient 3,6mg de fer, 100g de riz complet contiennent 2,6mg de fer et un bulbe de fenouil renferme environ 2,5mg de fer.

Chez les enfants, l’amour pour les animaux et la crainte de la mort sont innés. Qui voudrait leur inculquer l’indifférence face à la souffrance et à la mort d’autrui? C’est pourtant ce que l’on fait en donnant de la viande aux enfants puisqu’on leur apprend ainsi à effectuer des différences face à la vie: il y a ceux qui méritent de vivre et ceux qui ne le méritent pas. On leur apprend parallèlement à respecter et à aimer les chiens et les chats et à considérer comme normal d’élever les petits cochons et les petits faons pour en dévorer la chair.

Mensonge numéro 8: manger de la viande, c’est nécessaire à la vie

Faux! La consommation de viande tue. elle affame le tiers-monde! “Là où les espaces agricoles actuellement utilisés à des fins d’élevage nourrissent dix personnes, on pourrait nourrir et maintenir en vie cent êtres humains si on y pratiquait la culture du millet, des pois, des lentilles et de l’orge.” Alexander von Humboldt (1769-1859), voyageur, naturaliste et géographe, créateur de la climatologie et de l’océanographie.

Gaspillages des sols cultivables: sans la production de viande, nous n’aurions besoin que du quart environ des terres actuellement cultivées. Sur un hectare de terre où l’on produit 50kg de viande de bœuf, on pourrait aussi bien produire 4 tonnes de pommes, 8 tonnes de pommes de terre, 10 tonnes de tomates et 12 tonnes de céleri.

Gaspillages des céréales: la moitié de la récolte céréalière mondiale sert aujourd’hui à engraisser les animaux. Dans les pays industriels, la proportion des céréales utilisées pour nourrir les animaux d’élevage s’élève même à plus des deux tiers. 60% des importations de produits de fourrage proviennent des pays en voie de développement.

Dans ces pays, 40 000 enfants meurent de faim chaque jour. 1,3 milliards d’êtres humains souffrent de malnutrition. Chaque année, 50 millions d’êtres humains meurent de faim ou de maladies engendrées par la faim. Pourtant, sur terre, personne ne devrait mourir de faim: on pourrait nourrir 100 millions d’hommes supplémentaires en réduisant seulement de 10% la consommation de viande des pays industrialisés.

“Rien ne fera plus pour accroître les chances de survie sur la terre que l’adoption de l’alimentation végétarienne” Albert Einstein.

Le végétarisme sauve aussi la vie Humaine

 – 80% des enfants mal-nourris dans le monde vivent dans des pays qui ont des surplus de stocks de nourriture, les enfants restent comme cela car les grains en surplus sont utilisés pour nourrir des animaux à la place de gens.

 Nombre de personnes dans le monde qui vont mourrir de malnutrition cette année: 20 millions

Nombre de personnes qui pourraient être convenablement nourries par la terre si les américains réduisait leur consommation de viande de 10%: 100 millions

Pourcentage du maïs produit aux Etats-unis destiné aux humains: 20%

Pourcentage du maïs produit aux Etats-unis destiné bétail: 80%

Pourcentage de l’avoine produit aux Etats-unis destiné au bétail: 95%

Pourcentage de protéines gaspillées en distribuant le grain au bétail: 90%

Fréquence de décès d’un enfant lié à la malnutrition: toutes les 2,3 s

Kilos de pommes de terre produites sur un hectare de terre: environ 40 tonnes

Kilos de viande de boeuf produite sur un hectare: environ 500 kgs

Pourcentage des terres agricoles américaines destiné à la production de viande de boeuf: 56%

Kilos de grains ou soja nécessaires pour produire un kilo de viande boeuf: 8kgs

Notre environnement

Un végatarien sauve plus de 100 animaux et un demi-hectare de forêt chaque année

Carburant fossile nécessaire pour assurer un régime carnivore: 3 fois plus qu’un régime végétarien

Pourcentage des terres de surface perdues aux Etats-unis jusqu’à aujourd’hui: 75%

Pourcentage des terres de surface liées directement à l’élevage: 85%

Nombres d’hectares de forêts américaines détruites pour satisfaire un régime carnivore: 130 millions

Quantité de viande importées aux Etats-unis d’Amérique Central et d’Amérique du Sud: 150 000 tonnes

Pourcentage d’enfants d’Amérique Central de moins de 5 ans qui sont sous-alimentés: 75%

Surface de forêt tropicale détruite pour produire 1kg de viande locale: environ 20m2

Taux actuel d’extinction d’espèces due à la destruction de la forêt tropicale pour l’élevage: 1000 par an

Notre santé

Les enfants qui grandissent en obtenant leurs nutriments du monde végétale plutôt que du monde animal ont d’immenses bénéfices au niveau de la santé. Ils ont moins de chance de développer des problèmes de poids, du diabète, de la tension artérielle et diverses formes de cancer.

Cause de mort la plus fréquente aux Etats-unis: crise cardiaque

Fréquence d’une crise cardiaque aux Etats-unis: toutes les 45 secondes

Risque moyen pour un homme de mourrir d’une crise cardiaque: 50%

Risque pour un américain qui ne mange pas de viande: 15 %

Risque pour un américain qui ne mange ni viande, ni produits laitiers et ni oeufs: 4%

Chance de réduire les risques d’attaque cardiaque si l’on réduit sa consommation de viande, produits laitiers et oeufs de 10%: 9%

Chance de réduire les risques d’attaque cardiaque si l’on réduit sa consommation de viande, produits laitiers et oeufs de 50%: 45%

Chance de réduire les risques d’attaque cardiaque si l’on élimine consommation de viande, de produits laitiers et d’oeufs: 90%

Niveau moyen de cholestérol pour les mangeurs de viande: 210mg/dl

Chance de mourrir d’une maladie cardiaque si l’on a un taux de cholestérol dans le sang de 210mg/dl: plus de 50%

Nos ressources naturelles

On sauve plus d’eau en ne mangeant pas un kilo de viande qu’en ne se douchant pas pendant un an

La moitié de l’eau utilisée aux Etats-unis est destinée à: l’élevage

Quantité d’eau nécessaire pour “produire” une vache: suffisante pour faire flotter un destroyer

Litres d’eau nécessaire pour produire un kilo de blé: 6 litres

Litres d’eau nécessaire pour “produire” un kilo de viande boeuf de Californie: 1200 litres

Nombre de calories de carburant fossile dépensées pour obtenir une calorie de protéine de boeuf: 78

Nombre de calories de carburant fossile dépensées pour obtenir une calorie de soja: 2

Pourcentage de matières premières (produits de base de fermage, exploitation des forêts et des sols incluant les carburants fossiles) utilisées aux Etats-unis qui est destiné à l’élevage: 33%

Pourcentage des matières premières utilisées aux Etats-unis nécessaire pour fournir un régime végétarien complet: 2%

Pesticides

D’après des scientifiques éminents et l’EPA, jusqu’à 95% de l’exposition à la dioxine vient de la viande rouge, du poisson et des produits laitiers. Même de faibles quantités de dioxine peuvent provoquer cancer, des réponses immuno-déficitaires, des problèmes liés au système nerveux, des fausses couches et des malformations à la naissance.

Pourcentage du lait des mamans américaines contenant des niveaux importants de DDT: 99%

Pourcentage du lait des mamans américaines végétariennes contenant des niveaux importants de DDT: 8%

Contamination du lait maternel lié aux pesticides chlorés des produits animaux chezles mamans carnivores par rapports aux mamans végétariennes: 35 fois plus

Montant de dieldrin ingéré par l’enfant américain moyen nourri au sein: 9 fois les montants autorisés.

Rien que pour le Royaume-Uni, environ 100 millions d’animaux sont massacrés pour la nourriture chaque année, c’est 30 animaux à chaque seconde. Dans sa vie, un mangeur de viande moyen aura consommé 36 cochons, 36 moutons et 750 poulets et dindes. Voulez-vous un tel carnage sur votre conscience?

Les animaux ressentent la souffrance et la peur autant que nous. Voulez-vous passer votre dernière heure enfermé dans un camion, parqué dans une cage avec des centaines d’autres animaux terrifiés et puis cruellement poussé dans une chambre d’exécution imbibée de sang?

Si l’industrie de la viande aux Etats-Unis n’était pas supportée par le contribuable qui paie une large proportion de ses coûts en eau, alors l’hamburger coûterait plus de 15 dollars le kilo. Quiconque qui mange de la viande ferme alors les yeux et supporte la façon dont les animaux sont traités.

Chaque minute de chaque journée de travail, des milliers d’animaux sont tués dans des abattoirs. Les pays africains, où des millions de personnes meurent de faim, exportent des céréales vers les pays industrialisés pour que des animaux puissent être engraissée pour notre table à manger!

Environ 1000 espèces deviennent extincte chaque année et approximativement 60 millions de personnes meurent de faim parce que les céréales qui auraient pu être consommées sont utilisées pour engraisser le bétail. Si sur Terre, on consommait 10% en moins de viande, toutes ces vies pourraient ête sauvées. La nourriture végétarienne est beaucoup moins chère à acheter dans les restaurants que la viande.

Environnement

Un rapport des Nations-Unis datant de 2006 a trouvé que l’industrie de la viande produit plus de gaz à effet de serre que tous les 4*4, Hummers, véhicules, camions, avions et bateaux du monde entier…combinés!

Manger une livre de viande (0,45 kg) a le même effet sur la planète que conduire un Hummer pendant environ 60 kilomètres. Ce n’est pas seulement l’air qui est pollué cependant….

La pénurie d’eau fraîche est rendue encore pire par les fermes d’exploitation animale. Cette industrie a besoin d’environ de 10000 litres d’eau pour produire une livre de viande. Les producteurs de viande sont les plus gros pollueurs de l’eau.

Santé

La nourriture à base de chair animale est basée essentiellement sur des protéines et des graisses saturées alors que la nourriture végétale est basée sur des protéines végétales, des acides gras insaturés (essentiels), des glucides riches en nutriments et des enzymes indispensables à la vie.

Des études ont montré que les végétariens ont des défenses immunitaires plus fortes.

D’après Dr John McDougall, directeur médical du programme McDougall, les maladies suivantes sont communes parmi les mangeurs de viande: anémie, appendicite, arthrite, cancer du sein, cancer du côlon, cancer de la prostate, constipation, diabètes, calcul biliaire, goutte, hypertension artérielle, indigestion, obésité, hémorroïdes, accident vasculaire cérébral et varices.

Si vous mangez de la viande, vous consommez des hormones et des médicaments comme des tranquillisants et des antibiotiques qui ont été donnés aux animaux.

Eviter de manger de la viande est l’un des meilleurs moyens de réduire la consommation de graisses et donc de réduire les chances d’une crise cardiaque ou d’un cancer. Il est beaucoup plus facile de devenir svelte (et de le rester) si vous êtes végétarien.

Karma

Pythagore, le légendaire mathématicien de l’ancienne Grèce a déclaré « tant que les hommes massacreront les animaux, ils s’entretueront. C’est normal, celui qui sème la graine du meurtre et de la souffrance, ne peut recueillir joie et amour. »

Si vous mangez un animal, un jour ou l’autre, vous devrez vous réincarner dans un corps d’animal et être mangé. C’est la physique, toute action à une réaction égale et opposée.

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